Cinéma

PRÉSENTATION

Les contes et leurs enseignements sont universels et peuvent faire plusieurs fois le tour du monde ! Ainsi, derrière cette mère poule qui nous rappelle la mère l’oye de Charles Perrault se cachent en réalité trois contes mis en images par des cinéastes d’animation iraniens… dont les Sept chevreaux, popularisés par les frères Grimm. Pour porter cet art du conte à l’écran, tissus et papiers découpés s’inspirent de la tradition persane du tissage et de motifs de tapis anciens. Un voyage poétique entre Orient et Occident pour les tout petits.

LA PRESSE EN PARLE

La beauté plastique de ces trois courts métrages iraniens pour enfants, de facture aussi fruste qu’ingénieuse, renvoie la plupart des autres films d’animation à leurs chères études de cancres des Beaux-Arts qui n’ont jamais mis les pieds dans un musée ni admiré un vitrail gothique… Alors parents, décollez vos marmots des Pokémon, Digimon et autres dysniaiseries et montrez-leur que la vraie vie (artistique) est ailleurs.

Les Inrockuptibles

Cet impeccable programme de court-métrages montre que les créateurs de Téhéran excellent également dans un art de l’imaginaire susceptible de séduire les spectateurs de tous âges. A découvrir !

Le point

A ne manquer sous aucun prétexte.

Le Figaroscope

On a l’impression en le regardant de lire un de ces poèmes aux métaphores éclatantes que l’on trouve dans les Mille et Une Nuits.

Aden

Ces trois tendres contes offrent aux enfants un univers magique inspiré des traditions persanes.

Le Figaro

Avec des papiers découpés, des morceaux de tissus et des pièces brodées, chaque réalisateur invente un univers merveilleux, plein de grâce et d’humour.

Les Cahiers du Cinéma

Pour le plaisir des yeux, un film iranien d’animation à l’ancienne.

Télérama

Projection en collaboration avec le cinéma Utopia de Montpellier