❁ Hors les murs Une imposture autobiographique de Camille Daloz – Cie Le cri dévot
Tout a commencé dans un TGV qui conduisait Camille Daloz jusqu’à Montpellier. Son ordinateur s’est éteint. Plus de batterie. Pas de bouquin. Rien. Juste son téléphone entre les mains et…
Localisation :
Le Local, 93 Rue des Sports, 34750 Villeneuve-lès-Maguelone
Adélys Toujours vêtue de jaune, Adélys, contraste avec le gris de la ville. Elle écrit, compose et produit des chansons électro qui sont des rencontres avec l’urbain, l’eau et le corps. De la femme de ménage à l’araignée, les histoires de ses refrains donnent la voix au féminin et sont un appel au respect du vivant dans un monde à la dérive. iAROSS Cordes frottées, pincées, machines et synthés, iAROSS mélange les styles et les frontières. Du texte à la musique, la poésie tient une place de choix. Chant libre et rock, musiques douces ou révoltées, les chansons de iAROSS frappent à coups de guitares saturées, d’envolées de violoncelle et de textes puissants !
Localisation :
Théâtre Jérôme Savary
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Exquis cadavres : atelier d’écriture
Médiathèque de Métropole G. Sand
Mis à jour le
❁ Hors les murs Dans le cadre du « café mortel » organisé par le théâtre Jérôme Savary
Ecriture d’une micro-nouvelle « noire ».
Animé par Elisabeth Vitielli.
Localisation :
Médiathèque de Métropole G. Sand, 235 Bd des Moures,, 34750 Villeneuve-lès-Maguelone
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Maloya Jazz Xperianz
Théâtre Jérôme Savary
Mis à jour le
Dans le cadre de la 16e édition du Koa Jazz Festival – 1h30 Brunch à 12h30 – Concert à 15h
Et si la tradition n’était pas une entité figée mais plutôt une notion en perpétuel mouvement ? Et si tradition et modernité n’étaient pas si antinomiques que ça ? C’est ce que l’on découvre en écoutant Maloya Jazz Xperianz, une fusion musicale initiée par la talentueuse Emy Potonié. Avec ce projet, la compositrice, saxophoniste-flûtiste et interprète réussit à marier de manière harmonieuse deux courants musicaux qui l’ont profondément inspirée : le Maloya et le Jazz. Elle imagine un terrain d’expression artistique où chacun.e peut exprimer pleinement son bagage culturel.
Playback FM (ou comment les médias m’ont appris à parler)
Mis à jour le
Valentin Dilas Théâtre / 55mn
À la croisée d’un spectacle de stand-up et d’un battle de lipsync, Valentin Dilas condense 50 ans de prises de parole médiatiques en 50 minutes, rejouées sur scène dans un playback millimétré. Une expérience unique qui combine humour, satire et réflexion sur l’évolution de la culture médiatique. On pourra croiser Serge Gainsbourg, Sophie Marceau, David Pujadas ou encore Blanche-Neige, qui répondent sans le savoir à la question : Qu’est-ce qu’un bon orateur ? Et surtout, surtout, qu’est-ce qu’un discours raté ?
Le spectacle est précédé de 3 Hors Séries du 15 au 17 octobre dans les bars et lieux de la ville. Voir ci-contre.
Frotter, polir, nettoyer, attendre dans un coin, souvent seule ou à côté du balai… c’est la vie de la serpillère. Et après tout, chacun à sa place et les moutons seront bien gardés… Pourtant, il suffirait de peu, d’une danse avec elle et la voilà l’égale de la Joconde, ou du grand Nijinski. Elle glisse, saute, joue avec nous, tournoie dans les airs toute seule comme par magie, s’arrête, attend… nous attend dans l’espoir d’inventer encore d’autres danses. L’art peut être partout. Il suffit d’un pas de côté, d’un regard un peu différent, pour que les choses ne restent pas à leur place et que les moutons dansent. Ici, les enfants sont des spectateurs actifs, complices d’une œuvre éphémère à laquelle chacun pourra prendre part.
❁ Hors les murs Compagnie La Vie Grande – Agathe Charnet Théâtre – 1h30
« Vous savez, la vérité d’un désir, c’est comme le feu ». Quand elle était enfant, elle n’était ni vraiment petit garçon, ni résolument petite fille. Elle était chevale sauvage. A huit ans, elle s’est prise pour Esmeralda et à neuf, elle est tombée amoureuse d’une enfant de chœur. Elle a appris, en cinquième, qu’il ne faut jamais prononcer dans la cour de récréation le mot « gouine » et au lycée que l’orgasme ne ressemble pas à ce qui est raconté dans le supplément « spécial sexe » de Elle Magazine. À la frontière de la pop-culture, de l’auto-fiction et de la sociologie du genre, Ceci est mon corps parcourt les désirs, les violences, les joies et les aspérités qui traversent le corps d’une femme née dans les années 1990 et tente de découvrir ce qui surgit, à l’orée de la trentaine, quand ce corps devient un corps lesbien.
Dans le cadre du festival Lun.e.s, avec la coopérative Créature.s créatrice.s
Spectacle pour une clowne et un musicien en quête de beauté*
C’est une fête d’adieux. Une rupture amoureuse. Ou bien : c’est une libération joyeuse et tragique. En somme, une grande fête, pleine de promesses. Adélaïde Anaconda nous invite à célébrer la rupture avec son amant. Trop petit pour sa vision de l’Amour. Tour à tour chasseuse de tigre bleu, reine du monde, ogresse affamée ou grande prêtresse de l’Amour, elle tente de lui écrire la plus belle lettre de rupture qui soit. Son désir d’absolu et des grands espaces va l’amener à supprimer l’autre – celui qui l’a trahie, qui l’a quittée, dans une apothéose de furie meurtrière… en toute innocence !
La résolution de cette quête sera une révélation, une prise de conscience de ce qu’elle mérite vraiment : le meilleur, le vrai amour, grandiose. Un avenir lumineux l’attend !
Un fils cherche à comprendre le silence de son père dans une relation où les mots font défaut. Dans une quête de renouer le dialogue, ensemble ils partent sur les côtes de Lampedusa, petite île du Sud de l’Italie, passeport d’entrée pour l’Europe devenue aujourd’hui terre promise pour des milliers de migrant·e·s. Accompagné par les chants traditionnels siciliens de la musicienne Claire Vailler, Solal Bouloudnine incarne avec force et sensibilité les mots puissants de Davide Enia. Ce récit personnel rencontre alors celui des sauveteurs, pêcheurs, fossoyeurs… qui luttent chaque jour pour ces individus à la dérive venus chercher refuge sur le sol européen. Un texte bouleversant et criant d’humanité.
Mise en scène : Alexandra Tobelaim – Texte : Davide Enia Avec : Solal Bouloudnine et Claire Vailler (guitare, voix) Traduction : Olivier Favier Composition musicale : Claire Vailler et Olivier Mellano Scénographie : Olivier Thomas Création lumière : Alexandre Martre Régie son et régie générale : Emile Wacquiez
Seul sur une île peuplée de curiosités, on s’émerveille de tous ces petits riens à côté desquels on passerait sans doute sans les voir en d’autres circonstances ! Voici un naufragé volontaire et lunaire qui s’évertue à placer en équilibre la moindre branche, le moindre caillou mais aussi du sable, des fils, de l’air, de l’écume… Il convoque de fragiles, délicates et minuscules prouesses pour épater son amie la fleur, déployant un petit cirque intérieur d’une infinie poésie et d’une immense délicatesse. Un véritable cirque forain fait de petits riens pour épater les petitous !
Localisation :
Théâtre Jérôme Savary
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Café décolonial
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❁ Hors les murs
Rencontre avec Sylvie Chalaye (Sorbonne Nouvelle) autrice de « Race et théâtre : un impensé politique » (Actes Sud), Lamine Diagne et Raymond Dikoumé, artistes du spectacle Francé, animée par Pénélope Dechaufour (Université Paul Valéry Montpellier 3) initiatrice du projet « Ecritures et scènes décoloniales : quelles modalités esthétiques, quels imaginaires scéniques« .
Dans cette histoire, il y a de la place pour tout le monde, tous les humains, mais on va s’intéresser à une famille en particulier : notre petite famille française. Et comme dans toutes les familles il y a des secrets de famille, des choses que nos parents et nos grands-parents ont vécues. Il va falloir descendre à la cave, fouiller les cartons, déballer nos héritages… Lamine Diagne et Raymond Dikoumé apportent leurs regards croisés sur ce que l’on peut aujourd’hui nommer la « question noire » française. Ensemble, ils tissent un récit pour connecter leurs parcours personnels à la « grande histoire », questionner leur afro-descendance et prendre conscience des héritages de l’histoire de la colonisation qui trouvent leurs prolongements dans l’incroyable diversité de notre pays.